Vaudreuil-Dorion
Pour Vaudreuil-Soulanges, j’aimerais des contemporains.
D’une balle qu’on perd, autant de pattes qu’un insecte qu’on a perdu, d’un seul brin d’herbe comme d’un espoir. Dans la réserve, un haricot en dehors d’une balle est une perspective.
L’obstruction du haricot a son créateur dans un sens rétrospectif. Une sauterelle dont la durée de vie ne va pas dans l’introspective d’un chemin à rebours contemplera cette existence, la nôtre.
Galtree ne peut pas allumer une étincelle. Il s’agit plutôt de la balle à l’extérieur d’un haricot, qui, par rapport à une pelouse, crée l’abandon des biens échangés, qui pour le narrateur sont le petit bois et non les camions éparpillés sur la planète natale pour que l’étincelle soit en mouvement.
Il n’a pas d’autre vélo, il n’en a qu’un et un tableau. Je pense que je vais méditer sur ma peinture actuelle sous le titre
<<Juxtaposition Impair en Couches>>, qui, m’emmène dans un
voyage vers l’extérieur. Je pense à la mise en boîte de mots qui, en reculant, ont pu se rencontrer, car j’ai un but, c’est-à-dire retranscrire en un lieu la période de temps que quelque chose devrait me prendre. Je m’approche de la toile comme je le ferais d’un morceau de carton pour digérer une capsule sur n’importe quelle lame ou balle. Passer du vide au média, comme s’agripper avec une sorte, car c’est à cela que ressemble l’isolement. Si seulement la toile pouvait aider. Considérez que le nôtre était cet arbre sur un chemin que nous parcourons nous- mêmes pas si différent du « holodecks » ni des hoverboards que nous nous approprions si facilement dans ce vide, un espace que le dépassement est associé et stocké dans le subconscient.
Donc si ma peinture devait devenir plus importante que d’être moins accrocheuse, très bien. Les gens vont se mobiliser, même si dans mon cas, une seconde chance est insignifiante. C’est comme cacher une vérité mais la révéler dans n’importe quelle situation et être patient.